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TANGUY ROMMENS

Auteur photographe

Et si nous faisions connaissance ?

Si vous cherchez à capturer l’essence des gens, des instants sincères, ou à créer des souvenirs à transmettre, vous êtes au bon endroit.

Je m’appelle Tanguy Rommens. Je vis à Rennes, mais je suis fier de mes racines brestoises. Né pendant la coupe du monde de 1998, j’ai grandi entouré d’art et d’inspiration. Mon père, photographe passionné, m’a souvent utilisé comme cobaye, tandis que ma mère me fascinait avec ses peintures.

Un regard, une histoire, une émotion.

J’ai passé mon enfance dans les vernissages du collectif Camera Obscura, rêvant face aux clichés exposés. Très tôt, j’ai emprunté les appareils photo de mes parents pour explorer mon propre regard sur le monde.

Aujourd’hui, la photographie n’est plus seulement une passion : c’est mon langage, mon moyen de raconter des histoires et de sublimer l’instant.

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La photographie, ma passion

En avril 2014, alors que je traverse une période difficile, je cherche un moyen de m’exprimer. À l’origine, j’écrivais des textes pour mettre en mots mes émotions et mes pensées. Mais, à force de ne plus trouver les mots justes, je me tourne vers la photographie. Ce médium devient alors mon refuge, une manière de transformer mes ressentis en images.

Passionné depuis tout petit, j’ai toujours été entouré d’art : mon père, photographe, m’a transmis son amour pour l’image, et ma mère, peintre, m’a appris à observer le monde avec sensibilité. Soutenu par mes proches et encouragé par mes amis, je décide de me lancer sérieusement dans la photographie. Mes premiers clichés capturent les paysages bretons, les rues de Brest, et mes escapades à l’étranger, notamment au Royaume-Uni, en Italie et en Espagne.

Quand les mots ne suffisent plus, l’image prend la parole.

En 2015, mon ami Fabien Tanguy me pousse à exposer mes travaux pour la première fois. Ma série On the road est accueillie au Patronage Laïque du Pilier Rouge, à Brest. Cette expérience est un tournant : elle m’ouvre les portes de concours (où je fût placé à la deuxième place avec deux photos sélectionnées), de collaborations, et me permet d’intégrer l’association Breizh Artist, où je deviens vice-président en 2016. Cette même année, je deviens jury du concours qui m’avait révélé et partage ma passion en enseignant les bases de la photographie au club du lycée Amiral Ronarc’h. Ce club photo a pu créer des expositions dans le cadre du Festival Pluie d’images, comme « Envie d’avenir » où les lycéens ont pu rencontrer des personnes formidables aux histoires surhumaines.

Grâce à ces expériences et à l’énergie de ceux qui m’entourent, j’ai appris que la photographie ne se limite pas à appuyer sur un déclencheur. C’est une manière de connecter les gens, de raconter des histoires, et de laisser une trace indélébile. Aujourd’hui encore, chaque image que je capture porte une part de cette quête d’émotion et d’authenticité.

Mes expositions

Portraits

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Immortaliser des instants de vie

En février 2016, je décide de repousser mes limites en essayant un style qui m’était alors inconnu : le portrait. Caroline, la première personne à poser pour moi, m’a donné le goût de l’intime et de l’authentique. Depuis, je me suis spécialisé dans les portraits intimistes et le nu artistique, où chaque séance est une véritable collaboration avec le modèle.

Du portrait intimiste au nu artistique : capturer l’authenticité.

Dans ma chambre, avec un simple drap noir suspendu et deux sources de lumière, j’ai appris à créer des ambiances uniques. Ces moments ne sont pas que techniques : ils sont empreints de rires, de conversations, et de complicité. Chaque photo a son histoire, entre le contexte de la prise de vue, les émotions du moment, et les instants partagés avec le modèle.